cent-quatre-vingts OU cent quatre-vingts : les rectifications orthographiques recommandent que toutes les composantes d’un nombre composé soient désormais liées par un trait d’union; en graphie traditionnelle, on met le trait d’union seulement entre les nombres contigus inférieurs à cent (quatre-vingts). Vingt s’écrit au pluriel quand il est multiplié et qu’il n’est pas suivi d’un autre nombre à droite.
quatre : le déterminant numéral quatre est toujours invariable.
vus : part. passé du v. voir au masculin pluriel. Quand le pronom se joue le rôle de complément direct (Ils ont vu qui? Eux-mêmes), le participe passé en contexte pronominal suit la même règle qu’avec l’auxiliaire avoir : accord avec le complément direct placé à gauche. Ici, le complément direct est le pronom se, mis pour les quatre naufragés.
échoués : part. passé du v. échouer employé comme adjectif, au masculin pluriel (s’accorde avec les quatre naufragés). Ici, échoués joue le rôle d’attribut du complément direct se, mis pour les quatre naufragés.
ile OU île : n. f. Étendue de terre ferme entourée d’eau de tous côtés. Graphie rectifiée : ile (sans accent circonflexe).
uruguayennes : adj. uruguayen au féminin pluriel (s’accorde avec côtes). De l’Uruguay. Employé comme adjectif, le gentilé (nom ethnique) prend la minuscule.
amène : adj. (s’accorde avec personnage). [Soutenu] Aimable, avenant, de caractère agréable. Une conversation, une hôtesse amène.
submersion : n. f. [Soutenu] Action de submerger ou fait d’être submergé.
trois-mâts : n. m. Navire à voiles à trois mâts. Ce nom s’écrit avec un s même au singulier (un trois-mâts).
typhons : n. m. typhon au pluriel. Cyclone tropical d’une grande violence frappant les côtes de l’Extrême-Orient.
étai : n. m. Hauban tendu entre la tête d’un mât et l’avant du bateau, pour consolider ce mât.
entrainant OU entraînant : part. présent du v. entrainer. Graphie rectifiée : entrainant (sans accent circonflexe).
galhauban : n. m. [Marine] Hauban capelé à la partie supérieure des mâts.
misaine : n. f. Voile basse de l’avant d’un bateau.
baise-en-ville : n. m. [Familier] Sac de voyage contenant un nécessaire de nuit. Ce nom demeure invariable au pluriel (des baise-en-ville).
maroquin : n. m. Peau de chèvre ou de mouton tannée au sumac et à la noix de galle, teinte et souvent grainée.
sauvés : part. passé du verbe sauver au masculin pluriel. Avec l’auxiliaire être, le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le sujet : les instruments de musique.
tamtams OU tams-tams OU tam-tams OU tam-tam : n. m. tamtam au pluriel. Tambour africain ou amérindien, que l’on utilise comme instrument de musique ou pour transmettre des messages. Graphie rectifiée : tamtams (sans trait d’union et pluriel régulier).
quérir : v. [Vieux] ou [Soutenu] ou [Régional] Chercher pour amener, pour apporter quelque part.
égaillé : adj. (s’accorde avec capitaine). Dispersé, éparpillé.
prasin : adj. Se dit d’un vert clair de la couleur du poireau.
gibbon : n. m. Singe sans queue, aux bras très longs, vivant dans les forêts tropicales d’Inde et de Malaisie.
faim-calle : n. f. [Vieilli] Faim extrêmement pressante.
pasodoble OU paso doble : n. m. Danse de rythme vif, sur une musique de caractère espagnol, qui fut à la mode vers 1920. Graphie rectifiée : pasodobles (sans espace, et avec un pluriel régulier).
ballades : n. f. ballade au pluriel. [Québec] Chanson sentimentale qu’on accompagne d’une musique légère. À ne pas confondre avec l’homophone balade (« promenade »).
dissonantes : adj. dissonnant au féminin pluriel (s’accorde avec ballades). Caractérisé par la dissonance. Dissonance : n. f. Rencontre ou suite peu harmonieuse de sons, de mots, de couleurs.
Le contenu de ce corrigé est tiré du logiciel Antidote HD. © 2008-2010, Druide informatique inc. Tous droits réservés.